Le pétrole qui fait la richesse des Arabes provient, à l’origine, d’une malédiction. C’est ce qu’affirmait un vieux troubadour qui « officiait » il n’y a pas longtemps dans mon bled natal.

Dieu, proclamait-il, était tellement irrité par le comportement des bédouins de la péninsule arabique qu’il les avait maudits. Il avait alors proféré cette imprécation : « Que votre eau soit souillée. Qu’elle vous soit imbuvable, à vous et à votre bétail ». L’eau est ainsi devenue noire, gluante et puante. Elle était exécrable. Pour les hommes autant que pour les animaux. Mais des Américains sont arrivés et en ont fait de l’or. De l’or noir.

Outrageusement fâché de voir son plan ainsi contrarié, Dieu se déchaîna contre les États-Unis. Il paralysa leur président de l’époque, Franklin Roosevelt, le rendant incapable de marcher et de se tenir debout, les fit bombarder par les Japonais et leur envoya des ouragans dévastateurs. Il continue d’ailleurs toujours à leur en envoyer un de temps en temps.

Sa hargne contre les Américains s’est même accentuée ces dernières années. Après leur avoir envoyé Ben Laden pour détruire les symboles de leur puissance, il leur a fait élire un président noir.

Pour faire enrager Georges Washington dans sa tombe et parachever la décadence du pays…

L’image de l’Amérique n’a jamais été aussi minable que sous Barack Hussein Obama.